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Bien joué!
Vous repérez un chêne colossal, plus large qu’une cabane, et vous vous glissez dans l’ombre de son tronc.
Le sol vibre sous vos pieds et les pattes griffues s’enfoncent dans la terre humide, soulevant des gerbes de feuilles.
La maison s’arrête.
Son œil de fenêtre s’illumine, balayant la forêt d’une lumière jaunâtre.
Une branche craque près de vous… Vous retenez votre souffle.
Quelques secondes — ou peut-être des minutes — passent dans un silence tendu.
Puis la maison reprend sa marche lentement et s’éloigne, les pas s’amenuisant dans la brume.
Vous laissez enfin échapper un soupir.
La forêt vous a protégé.e… Cette fois.

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