top of page

Jules Blandin

Malheureusement ce n'est pas la bonne réponse !


Jules Blandin n'est pas l'assassin.
Jules est aide de camp chez les anglais, il est aussi l'ami d'enfance de Robert. Il sait que la guerre a beaucoup marqué Robert qui a perdu sa famille. Depuis, il sait que Robert s'est tourné vers des voies peu recommandables, mais bon, s'il arrive à tenir le choc avec ça… Et puis avec toutes ces histoires “d’anges de Mons” et de “Saint-George” les gens se raccrochent à tout et n’importe quoi dans les conditions actuelles…

Jules et Robert ont une relation, dirons-nous, compliquée… En effet, Jules est tombé accro à la morphine il y a quelques années. Et c’est une addiction qui, une fois ancrée en soi, est difficile à enlever. Jules s’est souvent retrouvé devant la pharmacie de Robert en lui demandant “une faveur”. Robert ayant pris en pitié son ami, a fréquemment accepté les requêtes de celui-ci en lui prescrivant plus de morphine qu'à une moitié de régiment. Mais depuis que Robert a perdu sa famille, il n’est plus le même. Il a refusé catégoriquement de prescrire de la morphine à Jules…
Cela a mis Jules dans une colère noire. Pour se venger, Jules commença à entasser du matériel militaire dans l’arrière-boutique de la pharmacie. Cela ennuyait fortement Robert qui ne voulait pas être mêlé directement au conflit. Car cela attirerait l’attention sur ses activités ésotériques. Et qui, selon Robert, était d’une importance capitale. 

Jules avait donc un moyen de pression sur Robert. Dès que celui-ci refusait de lui donner de la morphine, il envoyait les grosses caisses de matériels militaires à la pharmacie.
C'est dans ce matériel militaire que Robert trouva les cachets de cyanure, déguisés en cachet de morphine.

Jules fera tout pour que son addiction reste cachée. Mais malgré tout, Jules ne dira jamais du mal de Robert et même s'il avait quelques rancœurs contre lui, il est vraiment touché par la mort de son ami et n'aurait jamais pu lui infliger cela.

bottom of page